Saturday 29 August 2009

Est-ce que la fracture linguistique pourrait-elle considérée comme la fracture sociale ?

Aujourd’hui, le parler des jeunes dans les banlieues fascine et inquiète les linguistes. On se demande si cette version déformée du français «correct» réfléchit la fracture sociale ?

Etant vu que les argots sont les plus utilisés dans par les jeunes immigrées dans les bidonvilles, ce langage pourrait bien être leur manière de manifester leur exclusivité de la société française. Cela se voit dans la pauvreté et l’agressivité du vocabulaire utilisé. Les argots est un moyen de les rendent psychologiquement supérieur à eux qui parlent la langue traditionnelle, en les empêchant la compréhension de leurs dialogues.

Ce langage peut aussi être vu juste comme a code secret, permettant les jeunes de parler entre eux, à l’insu des parents, des professeurs et des policiers. Cette tendance de créativité et d’invention existe plus ou moins dans toutes les sociétés parmi les jeunes. Alors, c’est quelque chose de banal et amusant d’un point de vue.

D’ailleurs, le français a les règles compliquées d’utilisation correct, alors, il est plus facile pour un jeune ou un immigré de parler la version populaire qui est beaucoup moins rigide d’à côté grammaire. Il ne faut pas ignorer la popularité de ce langage parmi les jeunes, quelques mots comme « meuf » et « Keuf » sont déjà entrés dans le dictionnaire. Il est possible que les jeunes l’emploient juste pour manifester leur jeunesse et d’être à la mode.

En conclusion, le parler jeunes n’est pas seulement une fracture sociale, mais c’est aussi une tendance des jeunes.

Friday 28 August 2009

Pourrait-on empêcher La transmission Du SIDA en mieux informant les gens ?


Le SIDA est aujourd’hui un des grandes menaces pour le monde. Alors, Est-ce qu’une meilleure diffusion d’information aiderait contenir cette maladie ?

Etant vu que les chiffres mondiaux des malades ne cessent pas d’augmenter, il est évident que les informations préventives ne sont pas suffisamment bien transmises. Bien qu’aujourd’hui, l’on soit plus informé des préservatifs qu’il y a vingt ans, les mythes et les faux-informations existent encore. Par exemple, puisque le souci principal des jeunes est de ne pas tomber enceinte, quelques-uns ne comprennent pas la différence entre les contraceptions et les précautions contre le SIDA.


Ensuite, Il faut noter que malheureusement les sujets liés au sexe ne seront jamais ouvertement et suffisamment parlés dans une famille, quoiqu’elle soit moderne. Tous les professeurs à l’école ne sont pas formés d’en parler. Alors, il faut un moyen pour rendre les adolescents conscients des risques de leurs actions.


C’est vrai à une certaine limite que le sujet de SIDA est devenu très banal et que tout le monde en parle trop. Il y a les autres problèmes qui sont plus récents. La partie de la population ayant un bon accès à l’information as assez du SIDA. Pour eux, il faut maintenant se concentre sur la recherche scientifique pour combattre cette maladie.


Cependant, puisque la recherche du SIDA est compliquée est qu’elle n’absolutiserait pas au résultat désiré dans l’avenir proche. On ne peut jamais parler trop du SIDA, car c’est la seule solution pour le contenir.

L’internet peut-il tuer la presse écrite ?

Aujourd’hui le monde constate un accroissement fou d’usage d’internet, par contre les quotidiens et les hebdomadaires enregistrent une diminution des ventes. Alors, la question se pose, si l’internet replacerait la presse écrite.

Bien que presque tout le monde soit abonné à au moins un journal, c’est seulement en raison d’habitude et rien de plus. Une grande majorité des personnes ne lisent que la première page, quelques-uns l’achète exclusivement pour les mots croisés. D’autres encore partent au travail avant la livraison du journal chez eux, évidemment ils sont obligés d’utiliser l’internet au bureau pour avoir les nouvelles. Etant donné qu’il existe les alternatifs plus pratiques, le journal juste comme une habitude n’existera pas longtemps.

Ensuite, il faut tenir compte que l’on doit acheter un journal traditionnel, alors que sa version à l’internet est gratuite. On peut feuilleter tous les journaux, en toutes les langues désirées, sans payer un sou. De plus, un journal traditionnel ne peut jamais nous offrir la même l’interactivité avec les documents sonores et vidéos.

Du point de vue l’environnement, il faut se demander si ce n’est pas un gaspillage énorme de papier de publier pour chaque personne un journal d’une quarantaine de pages, ayant une vie seulement de quelques minutes.

On peut dire qu’en raison d’accessibilité limité d’internet dans quelques régions, aujourd’hui, le journal touche beaucoup plus de clients. Mais, était vu la croissance phénoménale d’internet, il est selon moi juste une question de temps quand la presse écrite perdra sa lutte avec l’internet.